I'm Stupidly Happy

[J'adore cette sensation.
Que tout est a nous, mais aussi aux autres.
On déchire toute la haine pour enfin laisser place a l'evolution, la sérénité.]

[Pourquoi tout ce que j'ai toujours eu envie d'entendre est la.
J'ai l'impression qu'il n'est qu'une illusion pour compenser ma solitude.
La perfection de ce que je recherchait.
Ces moments de déambulement dans des lieux glacés bourrés de faux personnages qui me fesaient peur ne sont plus.
J'ai envie de pleurer. De deverser tout ce que je peux.]

[Moi je regarde
Impossible de traduire vos paroles
J'observe et mon coeur se replit.
Je suis tellement inférieure a vos discours.
Les barriéres ne sont plus invisibles.
Elle m'eloignent petit a petit de ce monde.
Grande rues. Visages effarés.
Stress, rires et mélancolie se melent.
Les visages ternes et le regard illuminé.
Mon usine a rêve se dresse.
ça lui rapelle des souvenirs . Moi je les ai abandonnés.
Je perds le temps a scruter l'avenir.
Les passants passent. Le pied leger le regard fou.
Léthargie suicidaire ou exitation héroique.
Moi j'aime tout, j'aime tout.]

Quelques petites Phrases écrites par moi en cet été interminable et ce début d'Automne interresant.

                      J'ai ecrit le 5 Aout :

                                                                             ***
Des fois j'aimerais que le couteau s'enfonce encore plus loin dans mon avant bras. Que la chair coupé a vif perle de sang
et que la piece en sente.
Je voudrais mourir.
Cette envie est si forte par moment que je n'ai pas besoin de musique pour l'exprimer.
Je trouve que ressentir cette rage en soit c'est pire que tout.
Je me regarde dans la glace et je me sens prisonniére de moi. Aucune issue.
Comment sortir de ce probléme ? Je ne voit pas de solution.
C'est ça qui donne envie de ne plus être la.
Mais comme il y a encore de si belles choses a voir je ne mettrais jamais fin a mes jours.
A la place je me fais de grandes marques sur le bras.
Les gens se ventent de le faire, d'être en "mal" être.
Alors moi un jour j'ai essayée. Betement d'ailleurs. Puis la colére s'efface lentement laissant place a ses douloureuses marques dont le mal ne se fait même pas ressentir au final.
C'est telement plus facile que de chercher une solution a ses problémes.
Mais moi mon destin n'est pas d'être comme je suis. J'en suis certaine. Je vais changer , je VEUX changer.
Mais il ne suffit pas de vouloir, il faut pouvoir et apparament dans mon cas c'est i m p o s s i b l e.
Alors les larmes coulent encore sur mes joues. Lentement , avec toute la torpeur possible.
Et demain je me reveillerai encore le visage blanc et bouffi par ma tristesse dont je m'emferme et dont je ne cherche pas de S O L U T I O N.

RETRANSCRIPTION

Le 29 Avril 2009

Je voudrais tellement qu'une autre sensation vienne cogner l'angoisse que je ressent.                                                 Qu'elle la fasse disparaitre a jamais de mon cerveau.

Je voudrais que ma nature d'indécise s'en aille pour laisser place a quelqu'un de fort qui sait choisir.                               Mes indecisions sont terrifiantes.                                                                                                                               Mais j'ai décidée d'agir et d'affronter.                                                                                                                         Mon choix est fait.                                                                                                                                                       Je vais me battre et chaque fois que le doute reviendra se nicher dans mon esprit il faudrat que je relise cette petite page de papier dans ce petit carnet.

                                                                      I KNOW THAT I WANT

"L'attente ou le supplice du SMS"

Evidemment je me suis faite prendre au piège. J'attends un SMS.                                                                 Peut-être qu'il n'arrivera jamais. Et dans ce cas la je serais très vexée. Le dernier message que je lui ai envoyé date de 14h24. La il est exactement 14h40 . Je n'attend plus de réponse car déjà qu'il est en cours... Je doute qu'il me réponde instantanément. Mais me repondrat 'il ?  Je l'espére...J'attend...Je suis surexcitée. 

Je déteste cette sensation.  Répond !

"Les jours comme ceux-ci ne sont pas tristes, ils sont pathétiques."

Je passe mon samedi aprés-midi a faire mes devoirs parce-que les gens qui sont disponibles je n'ai pas envie de les voirs, et ceux dont j'ai envie ne le sont pas.
J'apprend mes leçons, je bazarde plutot serieusement les maths,la physique et autres horreur scientifique.
Je finis le français la tête explosée.
Je suis seule. Seule dans ma chambre et si je ne peut plus m'occuper je vais trop penser.
Alors je surfe sur le web, je joue aux jeux vidéos .
Je fais tout ce qui empéche de developper la créativité.
18h00. Je finis finalement devant la télé a regarder une stupidité plus grosse que l'Amérique entiére.
Je ne regarde que trés rarement la télé. J'arrive pas a rester devant cette forme de bourrage de crâne.
Puis le reste de la soirée se déroule normalement.
Je suis crevée alors direct au lit.

Voila j'ai pas pensé , j'ai pas creé, j'ai pas eu mal.
Aucune douleur, passive comme un légume.
La recette anti-tristesse.
Se bourrer de travail et de pixels plein la gueule pour ne pas faire fonctionner son cerveau.

"Présentation trés bréve"

Je ne me suis jamais présentée sur aucun blog que j'ai pu faire. J'ai jamais fait aucune présentation nulle part.
Mais une présentation c'est la vue de soit sur soit.
Hors j'apprends chaque jour de plus en plus qu'elle est fausse.
Ce que j'imagine être ne l'est pas en réalité. C'est comme la voix.
Nous parlons et nous nous entendons. Nous nous entendons de l'extérieur et nous sommes habitués a notre voix ; enfin nous croyons l'être .
Un jour on nous enregistre et tout est diffèrent.
On dirait que nos cordes vocales ne sont plus les mêmes: Voix de l'extérieur.
Donc c'est pareil du jugement que l'on porte sur nous.

Je suis Ellyn. 16 ans. Fille banale dans un lycée banal.
Tout le monde est banal mais en fait ne l'est pas. Gros paradoxe.
Des filles de 16 ans il y en a pleins, c'est un fait.
Mais moi je ne suis pas comme toutes les filles de 16 ans. Je suis moi. Ellyn.                                        

Je me connaît par coeur et je ne suis pas comme les autres.
Mais personne n'est comme les autres puisque nous sommes tous différents.
Donc Ellyn, 16 ans , Marseille. Ville très moyenne dirons nous.
Lycée sympa. Drôlement des fois mêmes.
Et puis diverses occupations comme le dessin, le piano ,la décoration , la photographie juste comme ça ...
Je suis une inconditionnelle jalouse , possésive, envieuse.
J'ai remarquée que je suis aussi pas mal matérialiste mais ça dépend des périodes.